| Sujet: Eivind - Nobility is not a birthright. Dim 29 Jan - 0:09 | |
| Eivind Finwe Newell Nobility is not a birthright. It's defined by one's actions WHO ARE YOU ? | ☞ Identité : Eivind Finwe Newell ☞ Âge : 26 ans ☞ Race : Homme avec un peu de sang elfique ☞ Pays : Roham ☞ Rang : Rodeur ☞ Avis sur l'anneau : contre Sauron
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Histoire de vous faire patienter. Nous allons commencer par décrire ses mauvais côtés et autant vous dire, ils sont assez nombreux, mais entre vous et nous, on va lui pardonner. Pour commencer, vous ne trouverez surement personne de plus entêtée. Quand Eivind a une idée en tête, il est bien difficile de le faire changer d’avis, il acceptera d’avoir tort, mais il restera tout de même sur son idée première. Après tout, on est libre d’avoir son propre avis. Cependant il n’est pas non plus stupide et il sait reconnaitre le moment où il est bon de se taire. Il n’est pas sans faille et comme n’importe quel personne, il peut faire des erreurs. Ajoutons aussi qu’il a un petit côté fier, bien sur pas une fierté mal placée, mais il n’aime pas non plus être prit pour un moins que rien. Il n’a beau être qu’un rodeur, il n’est pas cependant un moins que rien. Il tente de traiter les gens avec respect et il aime qu’on en fasse autant. D’ailleurs il n’aime pas qu’on le traite comme un vagabond et un mendiant, oh non il déteste ça, il n’y a rien qui l’énerve plus. Eivind a aussi tendance à ne pas avoir froid aux yeux, ce qui lui apporte pas mal de soucis. Disons que sa notion de danger est un peu étroite. Heureusement pour lui, il est chanceux et arrive souvent à se sortir des problèmes dans lequel il peut se fourrer. Son plus gros défaut et surement celui qui consiste à cacher ses sentiments. Difficile de savoir ce qui pense, il ne dit jamais la vérité à ce sujet, surement pour se protéger. Passons aux bons côtés désormais. Eivind s’est avant tout un joyeux luron avec qui il est bon de voyager. L’homme sait cacher sa mauvaise humeur pour ne pas qu’elle soit un fardeau pour les gens qui l’accompagnent. De nature souriante, il est en fait assez facile à vivre quand on le connait bien et qu’on apprit à le cerner. Il n’est pas du genre à couper tout lien social. Non, il apprécie la vie en communauté, ce qui explique qu’il soit à la tête d’un petit groupe de vagabond. Il possède une vraie passion pour la justice et la vérité, il se bat d’ailleurs pour ses principes. Personne attentionnée et douce, il n’a aucun mal à défendre les causes perdues, comme défendre les ents, il faut bien que quelques le fasse. Un ent lui a sauvé la vie, désormais, il lui est redevable. Car oui, l’honneur est une chose importante pour lui et il se refuse à le bafouer. Bien qu’étant une tête brulée, il sait être calme et réfléchi ce qui évidemment lui a permis d’être encore en vie. D’ailleurs si il est encore en vie, c’est aussi et surtout parce qu’il est intelligent et qu’il a une facilité déconcertante à se sortir des ennuis. Pour lui, l’amour, l’amitié et la famille sont des choses importantes, et malgré ce qui l’a vécu il se bat aussi pour ces principes. Tendre, amical, mais aussi jovial, il aime rire et il est bien rare de le voir de mauvaise humeur. Pour terminer, il saura se faire apprécier de vous, sans même que vous le remarquez ou bien vous le détesterez tout bonnement. Mais une chose est sure, dans un monde qui change, il est bien un homme sur qui on peut compter.
raconte l'histoire de ton personnage en un minimum de 20 lignes. Il y a environ 27 ans, durant cette saison bénite appelée printemps, une jeune femme blonde prénommée Laora, Se rendait pour la première fois de sa vie à Edoras, capital du Rohan. Elle était la fille d’un riche seigneur jouxtant les terres des hommes des chevaux. Cette virée était sa dernière, la dernière avait qu’on ne l’emprisonne à jamais. En rentrant ce n’étaient pas les fers qui l’attendaient mais le mariage. Son père se rendait rarement chez le roi, seigneur des chevaux, cependant, une grande fête l’y avait convié et il avait décidé d’y amener son bien le plus précieux : Sa fille, Laora, Laora, n’était rien d’autre qu’une enfant, une enfant pleine de vie et un peu candide, elle aimait rêver, sans doute un peu trop. Ce fut lors de cette soirée qu’elle croisa le regard du fils du roi Un regard qui n’aurait jamais du être. Ils se fréquentèrent pendant le courte période ou elle demeura à Edoras. Quelques jours, une semaine tout au plus. Ils savaient déjà qu’une histoire était impossible, mais ils étaient jeunes, alors autant en profiter. Avant de partir, l’homme lui offrit cependant un pendentif, qu’elle garda avec elle. Il demeura à jamais son bien le plus précieux. Deux semaines après, elle était mariée… et neuf mois plus tard elle donna la vie. Cependant, elle savait que cet enfant était un enfant illégitime, mais elle ne le révéla jamais, si ce n’est le jour de sa mort, à l’intéressé principal : son fils unique. L’enfant vit le jour 9 mois plus tard, en plein hiver. La neige avait recouvert les chemins traçaient la veille par les chevaux. Elle semblait avoir fait fuir toute vie, aucun oiseau, aucun paysan ne semblait pointer le bout de son nez. Tous, sauf Eivind, car c’est ainsi qu’il fut nommé en souvenir du grand père de son père. Ou plutôt de son père adoptif, mais ça c’est une autre histoire. Son père n’assista même pas à l’accouchement. Pour dire la vérité, il était plus occupé à préparer la chasse qui allait se dérouler dans la matinée. Quand on lui annonça qu’il était père d’un fils, il se contenta d’hausser les sourcils, rien ne plus normal selon lui. Il était un homme de valeur, il ne pouvait concevoir qu’un fils. En fait, il était stérile comme un cheval castré, mais ça bien évidemment, il n’en savait fichtre rien. Si son père ne s’intéressait guère à son existence, ce n’était pas le cas de sa mère qui voyait en son fils le plus beau cadeau que dieu ai pu lui donner. D’ailleurs, elle ne permis à personne d’autre de s’en occuper, pas même à la nourrice qu’elle congédia plus d’une fois. Pour elle, il était bien trop fragile pour le confier à une personne dépourvue de sentiments aussi forts que ceux d’une mère. Alors, oui, elle était bien trop mère poule, mais elle préférait ça à laisser son fils connaitre la froideur d’un père. Car oui, ce père se moquait bien de l’existence de cet enfant, le seul intérêt qu’il éprouvait vis-à-vis de lui, c’était qu’il lui succéderait. Pour cette raison, il lui paya de bons instructeurs, mais cela s’arrêta là. Rapidement, le petit garçon démontra une grande faculté à désobéir aux règles les plus basiques. Sa mère était loin d’avoir la force de se montrer autoritaire, mais à vrai dire, c’était surement la seule personne qu’il écoutait, du moins, un peu. A 4 ans, il tomba d’une table de cuisine. Il avait une grande envie de sucrerie et comme il était petit, il avait réussi à monter un stratagème pour attraper les gâteaux qui se trouvait sur une étagère pour éviter qu’il se fasse manger par les chiens. Hélas, en réussissant à saisir les gâteaux, il réussit surtout à se casser la figure d’une façon remarquable qui lui valut un bras cassé. Il se remit cependant excessivement vite et recommença ses aventures. Car oui, il était passionné par l’idée de vivre de grandes et belles aventures. Bien sûr à cette époque il n’était qu’un enfant, il ne voyait pas le mauvais côté des choses. Ses aventures se restreignaient à espionner son stupide de père, à faire échapper poule et chevaux, à tirer les cheveux de la fille d’un ami de la famille et surtout à explorer le château de fond en combes. C’était ça, la vie d’Eivind, ni plus ni moins. Enfin vie, peut-être pas, mais c’était son enfance. A 6 ans, il commença à prendre des cours d’armes, il démontra une réelle aptitude au tir à l’arc. D’ailleurs, il ne délaissa plus jamais son arc trouvant cela bien trop passionnant pour n’en faire que durant les périodes « autorisées ». Oh non, il tirait sur tout désormais, et autant dire que les poules avaient chaud aux fesses. Quant à ses cours de bienséances et autre cours d’un ennuie totale, il était si insupportable que la plupart de ses enseignants déclarèrent forfait. Une fois, il tira sur le chapeau de son enseignant, un vieux magicien qui n’apprécia pas du tout la plaisanterie… Il manquait d’humour, voilà tout. Son enfance s’écoula dans un rythme dynamique et surtout plein de vie. Il devint rapidement un adolescent, avec le caractère qui va avec. Impétueux, fier, courageux et un brin fou. Difficile de le tenir en place et de lui imposer des règles, il en faisait toujours à sa tête, fatiguant tous ceux qui se devait de l’éduquer. A ses aventures d’enfants se rajoutèrent les joies de l’équitation et les filles bien entendues, mais dans toute celles qui côtoyait et autant vous dire qu’elles étaient nombreuses. Une seule attira son attention. Vous savez, celle à qui il tirait les cheveux, quand il n’était qu’un enfant. Désormais, leur relation était bien différente, même s’ils se cherchaient toujours. A cette époque, la vie était facile, agréable, les devoirs n’étaient que des mots lointains dont il ne ressentait pas le besoin de saisir le sens. Il était en train de découvrir l’amour et ses lois et elles allaient lui apprendre que dans ce monde rien n’est jamais acquis. Ce fut durant cette période, qu’il dut supporter sa première grande épreuve. La mort de sa mère. Elle fut fauchée par un mal sans nom qui la fit partir en quelques semaines. Seule personne à laquelle il était attaché, seule femme qu’il aimait dans ce château. Sa mère s’était son socle, elle le tenait droit. Avant de mourir, elle lui apprit la vérité sur ses origines et lui confia un pendentif, une tête cheval gravée dans un bois rare. Il ne vit plus jamais son père comme avant. Et se fut réciproque. Sans sa mère pour faire tampon, l’homme tenta de briser le garçon, mais il était bien trop tard. Les tensions entre les deux hommes se firent de plus en plus fortes. Cependant, Eivind demeura toujours respectueux envers son père. Le décès de sa mère lui avait appris qu’il était mal d’être trop égoïste et qu’on ne pouvait tout avoir. Heureusement, dans son malheur, il y avait Oona. Hélas, comme si le destin voulait le briser, il lui envoya une autre épreuve. Son père désirait reprendre une femme et celle qui choisit n’était rien d’autre qu’Oona. Il tenta donc de fuir avec elle, lui envoyant une lettre à laquelle elle ne répondit pas. Ce soir-là, il s’en suivit une grosse dispute avec son père et il disparut du domicile familial. Il ne réapparut qu’après leur mariage, profondément blessé par le silence de la jeune femme, et aussi par la tournure des événements. Il connaissait la violence de son père, mais elle avait fait son choix et il était trop lâche pour tuer cet homme. Oui, lui qui se voulait fort, n’était en fait qu’un lâche. Il finit par vraiment disparaitre, trouvant refuge dans la forêt de fangorn avec un groupe d’hommes. En échange de la protection de la forêt, ils décidèrent de la protéger des orcs et autres créatures qui voudraient du mal à cette forêt si mystérieuse. Ce fut durant une nuit étoilée que sa route croisa celle d’un jeune poulain, prit dans un filet par un groupe d’homme. Il réussit à les faire fuir s’offrant alors l’amitié du poulain gris : un méaras. Selon les lois réagissant ce monde, les méaras ne se laissaient monter que par les fils et filles de la lignée du rohan. Il était l’exception qui confirmait la règle. Quelques temps plus tard, sa route croisa celle d’Oona. Elle avait eu l’intelligence de s’enfuir… Ils restèrent ensemble pendant une courte période. Eivind était tout bonnement incapable de ne pas la haïr… C’était surement trop frais, trop difficile de penser à tout ça, à tous ses espoirs perdus. Cependant, il l’aimait toujours et c’était bien là, le plus dur. Une dispute les sépara, elle était selon lui trop prompte à s’attirer des ennuis et il refusait de la voir se battre, elle n’était qu’une femme et surtout celle qui l’aimait. Malgré tous les reproches et la déception qu’elle lui faisait ressentir, il était incapable de maitriser ce sentiment, et tout ça le rendait fou. A vrai dire, il avait prévu de repartir la chercher, mais il ne la retrouva jamais. Alors il repartit dans la forêt de fangorn qu’il avait délaissé durant un temps. Aujourd’hui, il n’en sort que très peu, histoire d’avoir des informations sur le monde et sur ce mauvais pressentiment qui hante ses nuits. Il est devenu un rodeur, un homme sans rien et tout à la fois: un homme libre.
BEHIND THE MIROR ... Bonjour a vous. Je prefère taire mon nom et oui je suis une grande timide. Cependant je vous donne mon pseudo: Apache, en l'honneur de mon poney. J'ai 23 ans, bientôt 24 et vu que j'aime LOTR me voila parmi vous. Je connais Indi, raison qui m'a poussé à prendre son scénario que j'ai travaillé en attente l'ouverture. C'est donc par Indi que j'ai connu le forum. J'aime beaucoup le design, mais j'ai du mal avec le fond bois des descriptions dans les catégories.Quand a mon avatar et bien c'est celui du scénario: Jonas Armstrong. Quant au code il doit s'agir de : code bon par Mordred ♥ !
écrit checked à la place de ICI. | |
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